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La culotte qui montrait des petits signes d’humidité
rejoignit les autres vêtements sur l’herbe verte et tendre de la clairière.
Le soleil qui frappait et réchauffait de tous ses rayons le
corps entièrement nu de Marie, la rendait encore plus désirable, plus craquante.
Le visage de celle-ci changea d’expression, virant, une
nouvelle fois, à l’inquiétude, quand elle vit Christelle arracher, tant bien
que mal, une fougère géante dans l’ombre des arbres voisins.
Cette dernière revint vers la jeune femme attachée au tronc
d’arbre. Si elle se posait pleins de questions, elle se relâcha, petit à petit,
quand elle sentit la caresse de la plante lui parcourir le corps, et en
particulier les seins. Les tétons se dressaient à chaque fois davantage, lors
des passages de la fougère. Marie commençait à apprécier ce scénario, montrant
même quelques gémissements qui trahissaient une montée de son excitation.
« -C’est qu’elle aime ça la coquine. » remarqua
Sophie.
La fougère balaya, légèrement, toujours dans un mouvement de
caresse, le ventre de Marie. Puis
descendit sur son pubis. Un gémissement plus fort que les autres sortit de sa bouche. Dans l’instant d’après,
elle ouvrit ses jambes, comme une rose
qui s’épanouit de tous ses pétales.
Ses jambes s’écartaient encore plus pour faciliter le baiser
de la plante contre son sexe. Marie fermait les yeux, bercée par la caresse sur
ses lèvres devenues humide.
Sophie restait spectatrice, mais commençait aussi à avoir
des picotements au bas-ventre. D’ailleurs une de ses mains était sur cette
partie de son corps, à la recherche d’un apaisement quelconque.
Toujours les yeux fermés, Marie fut surprise de sentir, tout
d’un coup, la plante regagner sa poitrine, mais dans un mouvement beaucoup plus
appuyé, comme si on la flagellait. Elle ouvrit les yeux et rencontra le sourire
de Christelle qui levait le bras et redescendait d’un coup sec sur ses seins,
son ventre. Les coups étaient supportables, atténués par la fragilité de la
fougère, mais intriguaient la punie, par
le changement soudain du comportement de l’étudiante. Alors qu’elle allait
crier, Christelle jeta la fougère à terre, vint presque poser ses lèvres sur
celles de Marie et chuchota :
« - Ne t’inquiète pas, on ne te veut que du bien. »
Leur langue vint, une nouvelle fois se rencontrer pour un long
baiser fougueux. Quand il fut fini, Christelle reprit la parole :
« -Sophie, viens l’embrasser. »
Son amie qui se tenait à peine à un mètre d’elles,
s’approcha. Ses yeux pétillaient, et elle semblait terriblement excitée. Elle
vint plaquer ses lèvres sur celles de Marie. Christelle les laissa et au bout
de quelques secondes, tapota d’un doigt sur l’épaule de son amante.
« -Non, pas là Sophie. Mais Là ! », fît-elle
en désignant l’entrecuisse de Marie.
« -Mais, Christelle…Tu sais bien que c’est toi que je
veux. »
« -Tu m’auras, ne t’inquiète pas. Tu auras
l’exclusivité de me faire jouir, pour la première fois, avec ta langue.
D’ailleurs, j’ai une boule de feu dans le ventre à chaque fois que je pense à ce
que tu pourrais me faire avec. Mais, avant, c’est une sorte d’apprentissage que
de le faire à Marie. »
« -Mais, je ne l’ai jamais fait. »
« -Justement…Il te suffit de penser à ce que tu
aimerais qu’on te fasse et tu verras, ça vient tout seul. Quand à moi, je te
dis, je me livrerai complètement à toi, même les poignets et les chevilles
liés, tu feras de moi ce que tu voudras. Ok ? En attendant…Marie n’attend
que ça…Regarde comment elle est excitée. », ajouta-t-elle en désignant du
menton, Marie.
« - mais, avant, si tu veux, je peux… »
Christelle souleva sa jupe, et enfouit sa main sous sa
culotte. Les deux autres jeunes femmes pouvaient, sans difficulté, imaginer ce
qu’elle faisait. La déformation du tissu par la main, ne laissait aucun doute.
D’ailleurs, Christelle, sortit ses doigts luisant de cyprine, puis, les enfonça
dans la bouche d’une Sophie, totalement surprise du geste.
« -Suce ma belle. Comme ça, tu es la première à le
faire. »
Sophie, sous les yeux de Marie, obéit, et semblait y prendre
goût.
« -Tu aimes ? »
On devina un « Oui », dans la bouche de Sophie,
envahit par le majeur et l’index de son amie. Christelle retira lentement ses
doigts, avant de commander :
« -Bon, maintenant, occupe-toi de notre nouvelle
amie. »
Sophie s’agenouilla devant Marie, approcha son visage de son
pubis. Un petit moment, elle sentit le parfum qui lui était assez familier. Il
ressemblait au sien quand elle jouissait et qu’elle approchait ensuite ses
doigts humidifiés, de ses narines, de sa bouche. Et maintenant aussi,
ressemblant à l’odeur récente, des doigts de Christelle.
Marie était, effectivement, très excitée. Sophie vint au
contact de son sexe. Ses lèvres, sa langue, sa bouche, aspiraient, suçaient
avec avidité. Elle prit très vite goût et c’est vrai que ça devenait aussi très vite naturel, ses baisers, ses
succions, sur les lèvres, le fourreau étroit, le clitoris de Marie qui
découvrait aussi, avec bonheur, cette façon d’amplifier le plaisir.
En même temps, Christelle ne restait pas inactive et
caressait, embrassait, suçait les seins gonflés par l’excitation, de leur
nouvelle amie. On entendait plus que les gémissements des trois belles sur la
plateforme.
Marie fondit littéralement, de sa fente, sous la langue,
appliquée, gourmande et très intéressée, de Sophie qui allait chercher au plus
profond de son intimité le fruit de sa jouissance. Son orgasme avait été des
plus longs, des plus bruyants. Elle n’avait jamais connu d’aussi intense.
Quand les spasmes qui avaient traversé tout son corps,
disparaissaient lentement, elle sentit le lien de ses poignets se défaire.
Christelle la libérait et lui dit :
« -Tu vois, ta punition n’était pas si terrible que ça,
pour nous avoir espionnées dans le dortoir et les sanitaires. »
« -Non, j’ai aimé. Des punitions comme ça, j’en veux.
Je suis épuisée. »
« -Et ça se voit. » Christelle déposa un
baiser du bout des lèvres sur celles de Marie, qui frissonna, une nouvelle
fois. Non pas par ce baiser bienvenu, mais par la main de Christelle qui
s’était plaquée sur son entrecuisse.
« -Oui, ça se voit, que tu as aimé. »
répéta-t-elle, en léchant sa paume humidifiée de cyprine, tout en regardant
d’un air malicieux Marie, dont les yeux étaient aussi emplis d’étoiles.
« -Ah ouais, tu as aimé ? On pourra recommencer
quand tu voudras. Hein, Sophie ? Et toi, tu as aimé aussi ? Tu avais
l’air de te régaler. »
« -Oh que oui, Christelle. C’était bon, délicieux.
Mais… »
Elle ne put terminer sa phrase. Christelle l’embrassa
goulument. Les salives mélangées au jus d’amour de Marie, s’échangeaient.
« - Oui, tu as raison, c’est délicieux. Et, tu disais…Mais…Mais,
quoi ? »
« -Oui, je suis toute excitée. Pas toi ? »
« -Si…Mais, il est tard. On va remettre ça pour une
prochaine fois. En bas, il y a un ruisseau, à l’eau très fraîche. De quoi
éteindre le feu de notre ventre. On y va et après, on court à l’internat. La
dirlo ne va pas tarder à donner l’alerte. Nous n’avons qu’une demi-heure pour
rejoindre l’établissement. »
Pendant ce temps là, Marie avait eu le temps de se
rhabiller.
Le passage dans le ruisseau fut rapide. Les trois
étudiantes coururent ensuite, vers
l’internat, main dans la main, avec de grands éclats de rire.
Finalement, dans ce trio, Christelle n’était jamais à cours
d’idées. Mais les deux autres semblaient être ravies de cette tournure. Elles
subissaient, avec plaisir, toutes les initiatives de leur amie qui était aux
commandes. Leurs petits jeux leur
convenaient, ô combien, à toutes les trois.
...à suivre, du moins, si vous voulez...
...à suivre, du moins, si vous voulez...
Moi, je veux la suite des aventures de Christelle, Sophie et Marie. Celle-ci m'a ravie. Merci, Gil.
RépondreSupprimerMerci, fidèle lectrice.
SupprimerMerci beaucoup.
oui oui
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